Jeudi 23 mai, interviewé dans l’émission « En direct du Sénat », sur Public Sénat, je réagissais au déplacement du Président de la République en Nouvelle-Calédonie où les tensions persistent plus d’une semaine après le début des émeutes.
« Je pense que la réunion du Congrès fin juin telle qu’elle était prévue n’est pas raisonnable. En effet, une modification de la Constitution implique que 3/5ième des parlementaires votent en faveur ; ce n’est pas certain aujourd’hui de les obtenir. Aussi, vis-à-vis de la situation sur place, cela fait partie des choses où il faut temporiser. »