Mardi 21 janvier 2020, je suis intervenu en discussion générale à l’occasion de l’examen du projet de loi relatif à la bioéthique.
Les questions éthiques renvoient à la réflexion politique de chacun d’entre nous de la manière la plus intime, étant alimentées par des convictions philosophiques et / ou spirituelles, et elles interrogent notre relation à l’être et au prix que nous attachons à la vie humaine.
À cette occasion, j’ai regretté que la révision de la loi bioéthique serve de vecteur législatif pour aborder des sujets qui sont d’une nature très différente. En effet, ce texte comprend des mesures concernant l’établissement de la filiation qui relèvent du droit civil et qui ne sont pas, à proprement parler, de « bioéthique ».
J’aurais pour ma part préféré, et de loin, un débat ad hoc dans un texte ad hoc.
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