Alors que j’avais interrogé le Gouvernement sur la situation intolérable des enfants suisses dont le canton de Genève interdit l’inscription en Suisse quand leurs parents sont domiciliés en France, j’ai reçu une réponse du Premier ministre Édouard PHILIPPE.
Au-delà de la création de charges nouvelles importantes pour les collectivités, cette situation est un coup très dur porté à l’esprit de la coopération transfrontalière.
Au moment où des ponts se construisent ou perdurent (Léman Express, tram, diffusion de la télévision suisse en France...), le populisme genevois s’oppose à tout et détruit.
Fortement mobilisé sur les questions transfrontalières, je suis en contact avec de nombreux élus locaux préoccupés ainsi qu’avec le Ministère des Affaires Étrangères pour que la liberté de scolarisation redevienne la norme.